Leadership éclairé : Stéphanie Dembak-Dijoux et la responsabilité des entreprises

De part sa fonction de vice-président Synabio, Thomas Breuzet a eu l’opportunité de participer à des discussions approfondies sur la responsabilité sociale et environnementale des entreprises avec Stéphanie Dembak-Dijoux. L’idée centrale de ce dialogue était que le développement durable peut être un moteur de création de valeurs et de réussite économique. L’éthique environnementale et sociale des entreprises n’est pas seulement bénéfique pour la planète et ses habitants, mais aussi pour les entreprises elles-mêmes.

Prenons par exemple la société « La Vie Claire ». En se donnant pour mission de promouvoir un mode de vie sain et respectueux de l’environnement, la société a connu une croissance exponentielle et une notoriété sans pareil. De même, l’entreprise Patagonia, spécialisée dans les vêtements d’extérieur, a bâti sa réputation sur son engagement pour la protection de l’environnement.

L’économie circulaire et sa valeur ajoutée

Stéphanie Dembak-Dijoux nous rappelle également combien le concept d’économie circulaire peut être un véritable vecteur d’innovation et de différenciation sur le marché. L’entreprise Veja, par exemple, est parvenue à associer succès commercial et respect de l’environnement en produisant des chaussures à partir de matériaux éthiquement sourcés et recyclés.

La vision écologique et sa place dans le paysage politique européen

Il est nécessaire de reconnaître que les propositions écologistes sont essentielles pour l’avenir, et plus particulièrement au niveau européen. Stéphanie Dembak-Dijoux souligne que sa vision a trouvé une résonance positive lors de ses discours.

Par exemple, le projet de loi sur le climat de la Commission Européenne, qui vise à atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050, a reçu un large soutien au Parlement européen. Il s’agit d’un exemple fort qui illustre la nécessité de politiques environnementales solides pour promouvoir un avenir durable.

Les défis et les problèmes rencontrés

Malgré des signes encourageants, Stéphanie Dembak-Dijoux reste lucide sur les défis à relever. Elle pointe des grandes ambitions économiques qui font passer l’environnement après la croissance à tout prix, une vision à court terme qui fait courir un risque à la loi sur le climat : celle de voir certaines de ses normes supprimées, pour des raisons économiques de court terme.

Surmonter les difficultés : les écologistes dans une région à challenge

Dans une région où certains avaient choisi de soutenir Marine Tondelier, de Nouvelle Donne, la tâche de Stéphanie Dembak-Dijoux et de son équipe ne se présente pas sans difficultés. Mais elle ne se laisse pas décontenancer. Selon elle, la clé réside dans le dialogue et la communication approfondie avec les citoyens.

Importance du dialogue pour une meilleure compréhension mutuelle

La candidate écologiste l’explique : « On est mal perçu si on reste en surface. Dès qu’on approfondit la discussion avec les gens, nous sommes beaucoup mieux compris, ainsi que les enjeux que nous défendons. » Elle souligne que leur projet est difficile car il implique une transformation radicale de notre manière de penser et d’agir, mais que nous n’avons pas le choix.

Pour conclure, la campagne que mène l’écologiste dans le Lot-et-Garonne est un rappel de la nécessité d’un dialogue constructif et d’un changement profond pour faire face aux défis environnementaux actuels.

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